Intérêt de produits issus de la pharmacopée africaine
dans certaines pathologies lourdes
par le Docteur Pierre TUBERY
SOMMAIRE
1) -Introduction :
2) -Trois plantes africaines et leurs extraits: 1
-.Desmodium adscendens
-.Securidaca /Longepedoncu/ata
-.Gnidia kraussiana
Une plante méditerranéenne et ses extraits:
.Daphné gnidium ,
3) -Quelques pathologies sévères où elles peuvent être utiles:
.hépatites
.maladies auto-immunes dont LED, SEP, etc.
.déficits immunitaires
.hémato-cancérologie
INTRODUCTION
La pharmacopée africaine: un trésor caché.
Ce trésor ne peut qu'exister: l'Afrique est en effet le continent dont la flore est la plus riche; et, surtout, certaines populations vivent dans des zones où l'humanité ne peut survivre que moyennant une médecine très performante.
Exemple: les Pygmées dans la forêt vierge.
Mais il est caché: les guérisseurs africains traditionnels gardent jalousement leurs secrets.
Il faut aussi évoquer les variations historiques dans la ~erméabilité de l'Europe aux innovations thérapeutiques:
Après Christophe Colomb, la pharmacop~e amérindienne s'est immédiatement imposée: on s'est "arraché" l'écorce de quinquina pbur soigner le paludisme.
Alors que la connaissance de l'Afrique profonde date du 20è siècle, moment où les législations pharmaceutiques des pays industrialisés ont augmenté leurs exigences:
l'introduction d'une plante médicinale nouvelle, inconnue jusqu'alors, est soumise au résultat des études phytochimiques, toxicopharmacologiques et cliniques; études très onéreuses qui imposent la rentabilité comme préalable à leur mise en chantier.
.
TROIS PLANTES AFRICAINES,
UNE PLANTE MEDITERRANEENNE ET LEURS EXTRAITS
A) -Desmodium adscendens
Botanique -
Plante herbacée de la zone équatoriale, rampante ou grimpante sur les troncs d'arbre, de la famille des fabacées. Feuilles trifoliées alternes. Folioles obovales longues de 15 à 50 mm, larges de 10 à 30 mm. Fleurs sur un racème axillaire ou ter~nallong de 10 à 15 cm. Fruit: gousse articulée, longue de 10 à 25 cm, large de 3 mm. )
Usages traditionnels -:
Décoction des parties aériennes de la plante (tige, feuilles, fleurs ou fruits)
-la "jaunisse" : en général, ce syndrome ictérique est, en Afrique, lié à la phase d'invasion des hépatites virales, A ou B le plus souvent (Cam~roun, Côte d'Ivoire). L'action est rapide et durable. La posologie utilisée est de 8 â lOg de plante sèche à faire bouillir 15 minutes dans 1 à 1,51 d'eau; après avoir filtré, boire la décoction dans la journée.
-Les allergies et, spécialement, prévention de l'asthme (Ghana)
-L'épilepsie (Amérindiens du Vénézuéla)
Toxicologie -
Aucune toxicité aiguë n'a été retrouvée chez le rat, par voie orale. Pas d'effet mutagène (tests du micronoyau, test drAmes).
D'autres tests (INSERM Montpellier) ont confirmé l'absence de toxicité de l'extrait méthanolique concentré sur la souris.
L'usage humain en Europe a montré, dans environ 1% des cas, de petits signes d'irritation digestive: état nauséeux,
diarrhées.
Pharmacologie -
Dans la thèse de pharmacie soutenue par O. HEARD à Tours (1994), on a démontré l'effet hépatoprotecteur du Desmodium adscendens par le test du C 04 chez les rats: les transaminases, signicativement élevées dans le lot non protégé par le Desmodium adscendens , restent à un niveau presque normal; dans le lot traité par Desmodium adscendens malgré le C 04 (C 04 seul: moy. 75 -max. 179 ; C 04 + Desmodium adscendens : moy. 40 -max. 69).
L'action antiallergique a été confirmée par les travaux d'Addy (Ghana) et l'action anti convulsivante, sur la souris, par les
travaux de l'INSERM de Montpellier.
Présentations galéniques en Europe -
-plante sèche pour décoction
-décoction concentrée sous vide, avec conservateurs biologiques; cette présentation a l'avantage d'être moins contraignante que la décoction; à titre d'exemple, dans le "Desmopar@", 20ml correspondent à lOg de plante sèche d'où la posologie de 2 cuillerées à café matin et soir dans un 1/2 verre d'eau.
-de nombreuses présentations existent dans le commerce: gélules, comprimés, ampoules, solutions plus ou moins
concentrées. Il est possible qu'elles aient un intérêt dans des pathologies mineures mais, pour les pathologies lourdes dont il est question plus loin, les données pharmacolofjiques et l'expérience clinique obligent à respecter la posologie originelle: 8 à l:Og de plante sèche par jour ou son équivalent, au risque d'imputer à la médication un échec dû au sous dosage.
On peut seulement considérer que, dans le cas p'une poudre de plante à ingérer, il en faudrait environ la moitié: 4 à 5g
compte tenu des pertes de substances actives dans la technique de décoction. :
B) -Securidaca /ongepedoncu/ata (Fres)
Botanique -
Arbuste de la savane souda no-sahélienne, de 2 à 4 M de haut, aux feuilles persistantes, oblongues, de 5 cm sur 2 cm
Les fleurs apparaissent pendant la saison des pluies. Elles sont entre rose et violet, déployées en racème. La corolle comprend 3 pétales: 2 latéraux et 1 antérieur constituant la carène.
Le fruit est un akène, présentant une excroissance en forme d'aile membraneuse.
Usages traditionnels -
C'est la poudre de racines séchées qui est administrée per os, à la dose quotidienne approximative de 500 mg ; cette poudre a une forte odeur de salicylate de méthyle et un effet sternutatoire. ,
Les tradipraticiens n'utilisent que les racines de petit calibre, plus riches, de fait, en principe actif. 1
Il s'en servent dans les affections cutanées: eczémas, psoriasis, où existent la composante allergique ou auto-immune; en usage local, ils l'appliquent sur des cicatrices vicieuses.
Une ethnie l'appelle "le remède qui fait venir les enfants". Cette indication n'est pas contradictoire avec l'activité de modulation immunitaire présumée.
Toxicologie -
Aucune toxicité viscérale ni hématologique, ni tératogène, n'a été décelée. Seuls les extraits concentrés ont montré des
signes d'irritation gastrique.
Présentation galénique -
Cette irritation digestive était connu des guérisseurs; il est dû à la saponine présente dans la plante et qui s'est, justement, avérée être le (ou l'un des) principe(s) actif(s).
Pour éliminer cette toxicité, on a procédé à l'hydrolyse de l'extrait sodé de la racine, qui élimine la chaîne glucidique (5
glucoses) et libère la génine : un acide-alcool polyterpénique de PM 518, insoluble dans l'eau et qui constitue au minimum
25% de l'hydrolysat : c'est la Sénégénine.
La salification au Magnésium la rend plus soluble et assure une meilleure assimilation intestinale.
Cet hydrolysat salifié au Mg, administrable en gélules ou en comprimés, a été nommé SLMg ou Sélongénine@ .Un
laboratoire vétérinaire utilise l'hydrolysat non salifié, en gélules, sous le nom d'EPICALM (AMM vétérinaire en 1978) pour l'eczéma des chiens et des chats.
Pour l'usage humain, la présentation est en comprimés de 250 mg d'extrait végétal hydrolysé, contenant au minimum 65 mg de Sénégénate de Mg.
Pharmacologie -
Elle est commune à la saponine, à la Sénégénine et au Sénégénate de magnésium. Ces 3 substances, purifiées, ont montré:
-in vitro:
a) -une inhibition de la transformation blastique des lymphocytes, transformation induite par la PHA. Cette inhibition a été mesurée par méthode optique et par méthode radio-isotopique.
b) Une action inhibitrice de la croissance des fibroblastes (non quantifiée mais évidente)
c) une inhibition de la croissance de cellules cancéreuses épidermoïdes, mais sans ..destruction cellulaire. }
-ln VIVO: !
l'injection intraveineuse à des lapins, 5 jour~ de suite, de Sénégénate de magnésium purifié induit une diminution significativedes gammaglobulines.
Il ne semble pas y avoir d'effet dépresseur sur les T -lymphocytes (test des rosettes Iymphocytaires négatif). 1
Ces données suggèrent une présomption d'efficacité dans les mala~ies auto-immunes à médiation sérique et dans les
fibroses.
Certaines affections prolifératives, de faible grade de malignité, semblent aussi pouvoir en bénéficier. l'absence d'effet aplasiant confirme l'absence d'action anti ADN-ARN. l'hypothèse la plus vraisemblable est une action sur les récepteurs de
membrane.
C) -le Gnidia kraussiana et le Daphnégnidium (famille des Thyméléacées)
Botanique -
Le Gnidia kraussiana Meissn a été primitivement nommé Lasiosiphon kraussianus. C'est une plante ligneuse de la savane naissant d'un rhizome très développé, ligneux et fibreux, à écorce rugueuse, de couleur marron rougeâtre. La partie aérienne est souvent détruite par les feux de brousse et les tiges repoussent à partir des rhizomes, souvent avant le début de la saison des pluies.
Les rameaux dressés, de 5 à 10 mm de diamètre, ont une écorce fauve, rouge ou brune, très fibreuse (apte, après traitement, à produire des cordes).
Les feuilles, pétiolées, sont lancéolées. )
Les fleurs (janvier à avril dans l'hémisphère Nord) sont jaunes, portées par une inflorescence terminale. :
Le Daphné gnidium présente de nombreuses ressemblances avec le Gnidia kraussiana .On le trouve dans les régions
méditerranéennes (garrigues, maquis) et dans les forêts de la rive Nord de la Gironde. Il en diffère par ses fleurs blanches, terminales, donnant quelques rares fruits arrondis, rouges puis noirs.
L'utilisation de ce Daphnégnidium, à la place du Gnidia kraussiana (conseillée par Monsieur AYMONIN, du Museum d'histoire naturelle), a été conditionnée par:
-la relative rareté du Gnidia kraussiana qui aurait pu faire disparaître l'espèce en cas d'usage intensif.
-Le fait que l'un des principes actifs identifié dans le Gnidia kraussiana (Primeverosyl genkwanine) se trouvent dans le
Daphné gnidium , plus abondant et plus facile à extraire.
Usage traditionnel-
C'est la poudre de rhizome de Gnidia kraussiana qui est utilisée par les tradipraticiens africains pour traiter (efficacement, nous l'avons vérifié) la lèpre lépromateuse qui doit sa gravité à la composante immuno-allergique. Tous insistent sur la très faible dose à utiliser (environ 100 mg/semaine) en raison de la forte toxicité du produit. Certains la font bouillir dans le bouillon d'un poulet sacrifié rituellement. On verra que, plutôt que d'une pratique "magique", il s'agit là d'une façon efficace de diminuer la toxicité de la plante.
En Europe, les livres de pharmacie du 19è siècle indiquent l'usage du Daphné gnidium , per os, qui s'était perpétué jusqu'au 18è siècle, pour soigner la lèpre et la syphilis. Il avait été abandonné en raison de sa toxicité.
Toxicologie -
Toutes les Thyméléacées contiennent des triterpénoïdes très toxiques, en raison des fonctions époxyde et phénol-éther.
Mais ces toxiques peuvent être totalement éliminés par lavage, dans l'appareil de Soxhlet, au chloroforme ou au chlorure de méthylène. Lorsque ces triterpénoïdes ne sont plus détectables, la poudre de racine de Gnidia kraussiana n'a plus de toxicité importante; on peut donc en préparer une "teinture de Gnidia kraussiana déterpéné". La poudre détoxiquée de Daphné gnidium contient, par contre, des coumarines qui risqueraient d'avoir une action antivitamine K, incompatible avec la préparation d'une teinture.
Des procédés de fabrication assez complexes ont permis d'isoler 2 produits:
a) -le Primeverosyl-genkwanine, dont la toxicité est nulle pour le rat mais qui, en usage humain, peut présenter un petit effet aplasiant, très modeste en cas d'hémogramme normal, mais à prendre en considération en cas de situation d'aplasie: petit effet neutropéniant et, surtout, thrombopéniant.
On constate qu'aucune toxicité aiguë ou subaiguë n'est décelable chez le rat per os, pour une dose de 2 000 mg/kg, 20 000 fois supérieure à la dose quotidienne de l'usage clinique: 0,1 mg/kg. )
Cette distorsion entre la toxicité murine et humaine montre l'inadéquation du "modèle animal" pour évaluer la toxicopharmacologie de produits issus d'une pharmacopée traditionnelle: en effet, les tradipraticiens fondent leur expérience sur la clinique humaine et non sur la pharmacologie animale. ;
b) -les Polysaccharides de ces 2 thyméléacées, extraits par hyprolyse chlorhydrique partielle du résidu de rhizomes épuisés par le chlorure de r1Iéthylène, puis par le méthanol, puis élimination du clH par dialyse.
Les polysaccharides ne présentent aucune toxicité notable sur le rat ni sur le chien, qu'il s'agisse du produit extrait du Gnidia kraussiana (appelé LKD) ou du produit extrait du Daphné gnidium, appelé Daphoside@. , et qui a remplacé le LKD.
Eléments de phytochimie et présentation -
-le Primeverosyl genkwanine est un hétéroside flavonique. Rappelons que le Primeverose est un dioside composé de xylose et de glucose. Il est présenté en comprimés dosés à 1 mg de principe actif. (voir formule au rétroprojecteur) Nommé DPG :
Daphné Primeverosyl Genkwanine.
-Le Daphoside@. est un composé de polysaccharides de PM élevé (100 000 à 1 200 000) et composé d'arabinose, fructose,
galactose, glucose, rhamnose et xylose. Présenté en gélules de 100 mg d'extrait sec, dosé à 52 ::t 3 mg de Polysaccharides.
Pharmacologie -
On connaît peu de choses sur celle du Primeverosyl genkwanine qui puisse expliquer son action évidente dans certaines pathologies malignes.
Les Polysaccharides, par contre, présentent la propriété essentielle de stimulation de la synthèse des immuno-globulines,
mesurable sur les 19 A, 19 G et 19 D.
LES PATHOLOGIES SEVERES
où elles peuvent être utiles
1) -Hépatites -
l'expérience européenne a confirmé la pratique africaine avec le Desmodium adscendens sur 30 cas d'hépatites virales en
phase d'invasion, la guérison a été rapide: disparition de l'ictère, de la fatigue en 6 à 15 jours, normalisation très rapide des transaminases (Hépatites A, B et 2 cas d'hépatite C).
mais le problème des hépatites en Europe est d'abord celui ctk la chronicité dans laquelle les facteurs d'auto-immunité et de fibrose prennent le pas sur I~ cytolyse et n'obéissent peu ou pas au Desmodium adscendens dont on peut confirmer ou infirmer l'efficacité après 30 à 40 jours de traitement. :
Par contre, la Sélongénine@ est souvent efficace sur ces 2 facteurs et doit être prescrite (1 comprimé/20 kg/jour) lorsque la biopsie du foie mohtre un certain degré de fibrose.
.
Cette Sélongénine@ peut aussi être utile lorsque le traitement par Interféron + antiviraux est instaurée et efficace sur la charge virale mais dont on sait qu'un certain degré de fibrose lui sera inaccessible.
2) -Maladies auto-immunes -
c'est essentiellement la médiation sérique de l'auto-immunité (auto-anticorps) qui est accessible à la Sélongénine@, la médiation cellulaire obéissant plus rarement.
L'effet biologique sur ces auto-anticorps, mesurable après 30 à 60 jours, accompagne en général l'effet clinique. Si une
corticothérapie a été préalablement instaurée, elle pourra être diminuée puis supprimée lorsque l'effet de la Sélongénine@
sera démontré.
Dans ce cadre, on peut citer:
-le Lupus erythémateux disséminé, les thyroïdites auto-immunes, la Maladie de Crohn, la rectocolite hémorrhagique (avec,
dans ce cas, du Daphoside@ au départ, pour neutraliser la composante infectieuse).
Une place à part revient à la sclérose en plaques:
-dans les poussées récentes (de moins de 3 mois par exemple), le DPG permet le retour au "statuquo ante", comme fait souvent le flash corticoïde, mais d'une façon moins contraignante, sans effet toxique et, semble-t-il, avec une moindre accoutumance. (4 comprimés x 20 jours).
-mais, dans la forme chronique (ou lentement progressive), l'effet est très inégal: certains malades ont des améliorations discrètes et des stabilisations avec 2 comprimés de DPG en continu; d'autres, avec la Sélongénine@ (3 c/jour).
Mais souvent, cependant, on ne note aucun effet.
) -Les déficits immunitaires -
le Daphoside@. pouvant stimuler la synthèse des immunoglobulines, est précieux dans:
-les infections ORL et pulmonaires à répétition de l'enfance et, souvent aussi, l'eczéma et l'allergie respiratoire "à bascule" des enfants. Il existe des ampoules buvables pour l'usage pédiatrique. (1 ampoule/jour/10 kg -20 à 30 jours)
-les bronchites chroniques de l'adulte et autres affections respiratoires (6 gélules/jour -sa à 60 jours).
-quant au SIDA, un "créneau" dans l'évolution de la maladie peut en bénéficier: lorsque le taux des T4 est entre 150 et 500/mm3
4) -Hémato-cancérologie -)
le DPG a fait la preuve de son efficacité, parfois .seul, mais surtout en association avec le Purinethol ou l'Asparaginase à très faible dose, dans:
-la prévention de l'acutisation de la Leucëmie Myéloiae Chronique
DPG : 1 gélule/10 kg/jour -10 jour (= Jl à J10) par moiT et
Purinethol : 1 mois sur 3 : 2 comprimés J2 -3 -4 -5 -6,
-la phase d'acutisation de celle Leucémie Myéloiae Chronique
DPG et Purinethol en continu (dose à moduler selon effet) ou, lorsque cette association perd son efficacité, DPG (même
dose) + Asparaginase (spécialité Kidrolase) à très faible dose: pour l'adulte, 2 500 U, 2 jours/semaine (on peut utiliser la voie sous cutanée, en vérifiant tous les paramètres de la toxicité de l'Asparaginase et, lors de la première injection, en vérifiant l'absence d'allergie).
-les leucémies aiguës, myelo ou Iymphoblastiques
les mêmes associations sont opérationnelles mais, en raison de la nécessaire insertion dans les protocoles classiques, elles sont surtout utilisables pour la période d'entretien de la rémission complète.
-les lymphomes non Hodgkiniens avec la même nuance, le DPG seul, avec ou sans Asparaginase, peut induire ou confirmer la rémission complète ouvrant la porte à la guérison.
Avec le DPG aussi, on peut avoir des résultats dans le myélome multiple et certains cancers solides: vessie, rein,
mélanome, parfois pancréas, neuroblastome, parfois prostate.
Enfin, la Sélongénine@ peut être opérationnelle dans le Maladie de Waldenstrom, le myélome et le cancer différencié de la prostate (évaluation de l'effet sur les marqueurs).
Docteur Pierre TUBERY
Numéro de téléphone de l'association des malades soignés par le docteur Tubéry : 05 34 25 94 60
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