Une étude américaine, menée auprès de 3 000 participants qui ont été suivis depuis 1990, vient de démontrer que les personnes qui fréquentent une chaîne de restauration rapide plus de deux fois par semaine accumulent en quinze ans en moyenne 4,5 kilos de plus que celles qui y vont une fois par semaine.
Plus inquiétant, les chercheurs ont observé que les individus friands de « malbouffe » présentent une insulino-résistance deux fois plus importante que les consommateurs occasionnels et donc un risque accru de développer un diabète de type II.
Les chercheurs américains n’ont semble-t-il pas fait la comparaison avec ceux qui ne vont jamais manger au fast-food. Ça n’existe pas là-bas ?